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lundi 24 novembre 2014

Et si l’Agartha nous avait été léguée par les vénusiens?



Porté à votre conscience par Arcturius,
le 23 novembre 2014

agartha-terre-creuse 


Le mystère de l’Agartha

Une curieuse légende dit que Lhassa est le Pôle Blanc du Monde, le Pôle Noir se situant aux antipodes dans l’île de Pâques.

Les statues pascouanes seraient des monolithes géants captant les ondes maléfiques du monde pour en préserver le pôle inverse: Lhassa.

Elles seraient en quelque sorte « l’entité minérale » des cercles magiques recevant les chocs en retour lorsque les maléfices jetés par les sorciers ne frappent pas la personne visée.

En tout cas, il existe un mystère de l’Extrême-Orient, entretenu par la fabuleuse Agartha.

L’Agartha, qui fut révélée par Saint-Yves d’Alveydre, René Guenon et F. Ossendowski, serait un sanctuaire souterrain caché sous la chaîne de l’Himalaya, où officieraient les Maîtres du Monde. Voici, d’après Saint-Yves d’Alveydre, brillamment commenté par M. Jacques Weiss, un reportage (condensé) sur ce mystérieux royaume à l’existence duquel il nous faut croire sur parole :

« L’Agartha est la grande université initiatique d’Asie, et son chef, le Mahatma, joue – sans l’usurper – le rôle de Souverain Pontife Universel. Ce rôle est essentiellement éducatif et pacifique, encore que l’Agartha possède la connaissance d’une science physique qui lui permettrait de faire exploser notre planète et que sa science psychique soit à l’avenant. Elle a voulu laisser ignorer son existence jusqu’au XIXe siècle.

Pourquoi les Pontifes ont-ils dérobé leur université aux regards du public ?

Parce que leur science aurait, comme la nôtre, armé contre l’humanité le Mal, l’Anti-Dieu et le gouvernement général de l’Anarchie

Les mystères ne seront abrogés que si les promesses de Moïse et de Jésus sont tenues par les chrétiens, c’est-à-dire si l’anarchie du monde fait place à la Synarchie.

Où se trouve l’Agartha ?

Il ne convient pas de donner ici d’autres précisions que les suivantes : Avant Ram, son centre qui était à Ayodhya, la Ville Solaire, passa en un autre point, puis, en 1800 av. J. C., le sanctuaire se fixa dans l’Himalaya en un endroit connu de plusieurs millions d’Asiatiques.

Le territoire sacré de l’Agartha a une population de 20 millions d’âmes, il n’y a pas de prison, la peine de mort n’est pas appliquée, la police est faite par les pères de famille.

Des millions de Dwijas (deux fois nés) et de Yogis (unis en Dieu) habitent les faubourgs symétriquement divisés de l’Agartha et sont répartis dans des constructions principalement souterraines. Au-dessus d’eux: 5 000 Pundits (savants), 365 Bagwandas (cardinaux), puis les douze Membres de l’Initiation Suprême.

Les bibliothèques qui renferment depuis 55 700 ans la véritable synthèse de tous les arts et de toutes les sciences, sont accessibles aux profanes. Elles se trouvent dans les entrailles de la Terre. Les véritables archives de la Paradesa (Université) occupent des milliers de kilomètres.

Le jour où l’Europe aura fait succéder la Synarchie trinitaire à son gouvernement général anarchique, toutes ces merveilles deviendront accessibles. D’ici là, malheur aux imprudents qui se mettraient à fouiller la terre. Ils n’y trouveraient qu’une déconvenue certaine et une mort inévitable.
Seul, le Souverain Pontife de l’Agartha, avec ses principaux assesseurs, possède la connaissance totale du catalogue de cette bibliothèque planétaire. Les fakirs sont pour la plupart d’anciens élèves de l’Agartha qui ont arrêté leurs études avant les hauts grades.

Nul ne peut emporter de l’Agartha les textes originaux de ses livres d’études. La mémoire seule doit en conserver l’empreinte. C’est ainsi qu’au VIe siècle av. J. C. Cakya Mouni (Bouddha) revenant dans sa cellule après une excursion, poussa un cri terrible en ne retrouvant plus les cahiers d’études sur lesquels il comptait pour accomplir son mouvement révolutionnaire préparé en cachette.
En vain courut-il au Temple Central où demeure le Brahatmah, les portes en restèrent impitoyablement fermées. En vain mit-il en œuvre pendant toute une nuit la totalité de ses notions de magie. La Hiérarchie Supérieure avait tout prévu et savait tout. Le fondateur du bouddhisme dut s’enfuir et dicter en toute hâte à ses premiers disciples ce que sa mémoire avait pu retenir. »

Évidemment, on ne peut que mettre en doute ce récit rocambolesque, rêvé par le bon Saint-Yves d’Alveydre ou qui lui fut conté par un fakir mythomane, toutefois, le royaume souterrain de l’Agartha appartient à la tradition.

Continuer la lecture sur le site : http://www.arcturius.org/chroniques/et-si-lagartha-nous-avait-ete-leguee-par-les-venusiens/

 

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